KîlMS
; ,08s 1« ^
' dlrts '^antitesji
Ier P ro poriiooie| (
° nc 'l’obtenir 1’*.
' l iïwtrs l'unie
** '1** sopporten.
nie sur uae autre,
ic simple additi«
is ceu\ de l'autre,
urnes. qui mesures!
us acceptons, dan>
i soit ou continue,
1, sans modiicalioi
ce qui les sépare Je
sent entre elles que
listances auxqueües
même influence élé-
l-à-dire de la droite
,s; et il lui arrivera
e. Ce sera quand il
»ns lentes les direc-
•endre homogèneset
, influences à»'
1( )B, comme esLF
EXERCÉES, AUX DISTANCES IMPERCEPTIBLES, A TRAVERS UN ÉLÉMENT PLAN. 83*
exemple, le cosinus de l’angle de projection lorsqu’il s’agit d’actions
mécaniques dont des composantes parallèles sont seules susceptibles
de s’ajouter. Si les influences élémentaires à sommer dépendent enfin
d’autres circonstances, nous supposerons celles-ci pareilles pour tous
les groupes de particules à considérer; ce qui nous permettra d’en
faire abstraction.
En résumé, l’influence élémentaire qu’il s’agit d’exprimer sera le
produit des volumes des deux particules par une certaine fonction F
de la longueur r de leur droite de jonction et de deux angles définis
sant sa direction dans l’espace.
Or, en général, dans les questions où l’orientation des droites joue
un grand rôle, ce sont les coordonnées polaires qui conviennent le
mieux. Aussi, ayant d’abord, naturellement, à évaluer l’influence to
tale subie par un seul élément 00' du filet CD, de la part de
toutes les particules assez voisines situées au-dessus de AB, défini
rons-nous, dans cette sommation préalable, les points M de ces par
ticules, au moyen de leur rayon vecteur OM = r, compté à partir
d’un point 0 de 00', de leur hauteur angulaire mOM = cp ^variable
\
entre zéro et -^j au-dessus du plan xOy parallèle à AB, et de leur
azimut rOm = 6 (compris entre zéro et 2tt). Par suite, tandis que,
d’une part, l’on aura comme élément du filet CD le tronçon 00' com
pris entre deux sections normales situées respectivement aux distances
CO = u et C0'= u -+- du de la base supérieure G, tronçon exprimé
(en volume) par du du, d’autre part, l’élément naturel, ou la par
ticule à considérer, de la couche supérieure exerçant l’action, sera le
parallélépipède mixtiligne MEFG que limitent deux surfaces consé
cutives de chacune des trois familles de surfaces ayant les équations
/• — const., 0 =: const., <p — const., parallélépipède dont les arêtes,
déjà obtenues au n° 290* [form. (34), p. 66*], sont respectivement
ME — dr, MF — r coscp ¿/0, MG = r ¿/cp, et dont le volume est, par
suite, r 2 cos cp ¿/0 ¿/cp dr.
L’action ou influence élémentaire à sommer égalera donc le pro
duit
(io) (dix) du)F(r, 6, y) cos odiï do dr
des volumes des deux particules 00', MEFG, par une fonction don
née F(r, 0, cp) des trois coordonnées de la seconde. Cette fonction
pouvant être regardée comme nulle quand la distance r dépassera
l’imperceptible épaisseur CD = R de la couche influencée, les actions