LEUR DIFFÉRENTIATION PAR RAPPORT AUX COORDONNÉES DU POINT POTENTIÉ. ig3*
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Le même raisonnement s’appliquera, de proche en proche, aux déri
vées d’ordre supérieur, et donnera, par exemple,
(3)
2= /■+«-
,, Y „N d2 p(^ 1), O 7
—rfp— <fe -
Mais ces expressions, si simples, des dérivées d’un potentiel où p
est généralement une fonction arbitraire donnée, ont l’inconvénient
de contenir d’autres fonctions arbitraires que celle-là ; ce qui rend
leurs relations mutuelles plus difficiles à saisir. Il y a donc lieu de les
transformer, de manière à y conserver, sous le signe / , la fonc-
tion p(ç, 7), Ç).
Or on y parvient en appliquant le procédé de l’intégration par
parties ou, chose équivalente, en ajoutant sous le signe / , pour les
J CT
retrancher ensuite, des termes affectés des dérivées de plus en plus
élevées de ^ mais des dérivées de moins en moins élevées de p, et
propres à rendre la fonction sous le signe f (sauf un dernier terme
où p ne soit pas différentié) dérivée exacte en ç, tq ou £; ce qui per
met de transformer, d’après les formules (22) du n° 313* (p. 98*),
l’intégrale correspondante prise dans tout le champ m en une autre se
rapportant uniquement aux limites cr, a, de m.
A cet effet, observons que, sous les signes / de (2) et (3), ^ —
et ^ reviennent identiquement à
æ-'b
æe-
fP-
cl.bp db . cl /, dp\ db dp d [ , dp db'
eta 31 diJ-dîdl^d^di-r^,
Par conséquent, les seconds membres de (2) et (3)se dédoubleront, cha
cun, en deux intégrales, dontl’une, f dm e t f —zib ——p~-\dm
Jn d \ JxsdW' d\ r d\J
respectivement, se réduira, par l’emploi de la première des formules
citées (22) [p. 98*], à
^pcos(n, \)da -f- / 4>pcos(/i, ç)î/o-!
G d (7l
et à
ÿ — P ^cos(»,£)rf<Ti,
si l’on y sépare, comme on voit, ce qui se rapporte aux deux parties <r,
B. — II. Partie complémentaire. i3