FACTORIELLES FRACTIONNAIRES.
I l*
grandit justement de ce terme, vu qu’on a identiquement
1 j
x{x h). .
.[x-h (¡j — i)A]i
i [ T i
¡j. | (x -t- h)(x H- 2 h).. .{x -+- ¡j. h) x{x A).. .[# 4- ( ¡a — i)/i|
i x — {x\xh) _ li
¡j. x{x h). . .{x \i.h) x{x - h). . .(x -h ¡xh)
Il suffît donc de choisir c de manière que l’égalité des deux
membres de (6) ait lieu initialement, en entendant par état initial
de la somme S non pas, précisément, l’état où elle se trouve réduite à
son premier terme, pour lequel x = a, mais plutôt celui où elle n’a
encore aucun terme, et où ¿régale a dans le second membre, valeur
de cette somme. Il vient ainsi
(7)
i i #
¡j. a{a -t- h)(a 1h).. .[a -+- (p. — i)h]
Pour faire une application de la formule (6), portons-y cette
expression de c et, prenant simplement h — i, proposons-nous de
trouver la somme
^ a(a-I-i)(a-+-2)...(«-l-[j) _T_ (a-e-i)(a-f-2)...(a-t-p.-!-i)
I H- 1
\ (a + 2)...(a + [Ji + 2)
prolongée à l’infini. Il suffira évidemment de poser x — co dans le
second membre de (6); ce qui donnera, pour cette somme, la valeur
même de c, ou, d’après (7), le produit du premier terme
1
a {a + i)...(a + |i)
, et u. et
par le rapport —— 1 -
224*. — Suite : sommation des progressions géométriques à termes, soit
réels, soit imaginaires, ce qui comprend celle de sinus ou cosinus
d’arcs équidistants; différentielle d’une exponentielle imaginaire, etc.
Si la formule fx m dx — h c, dans le cas de m entier et po-
J m-1- 1
sitif, peut être regardée comme une généralisation de la règle élé
mentaire d’Arithmélique qui sert à sommer les progressions par