A TERMES IMAGINAIRES.
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membre
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à \a limite,
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•ail — i, el en
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regardant, bien entendu, le facteur —-, où e h — i sera, par
exemple, M +Ny/— i, comme représentant le binôme
M
M 2 -h№
IN 2
^ /—i,
qui, multiplié par M + N \j— i, donne l’unité. Cette formule (9) n’en
continuera pas moins à être une identité, grâce à la relation symbo
lique ou générale e x+h ~ e x e h démontrée dans la troisième Leçon (t. I,
p. 34*); car le second membre, évidemment nul, comme le premier,
pour ¿c m a, ou alors que le premier membre n’aura encore aucun
terme, croîtra de la quantité imaginaire
—1— ( e x+h _ e x\ — ( e h _ j\ e x — e x
e h — 1 v ’ e h — 1 v 7
quand on ajoutera un terme de plus, e x , au premier membre, ou chaque
fois que x croîtra symboliquement de h. Il suffira donc de faire,
dans les deux membres de (9), la séparation des deux parties réelles
(ou affectées des puissances paires de \J— t), puis celle des parties
imaginaires (ou affectées des puissances impaires de \J—1 ), et de les
égaler chacune à chacune, pour extraire de celte formule les deux
relations réelles qu’elle contient d’une manière symbolique.
Dans ce but, et nous bornant, pour simplifier, au cas d’une valeur
initiale a nulle, où les valeurs successives de x sont de simples mul
tiples de h, posons ¿c ;= ( a-h p —*)“> 011 appelons a et ¡3y/—1 les
deux rapports constants de la partie réelle et de la partie imaginaire
de x à une quantité réelle u, uniformément variable, comme x, à
partir de zéro. Alors, en désignant par k l’accroissement constant A u
ainsi éprouvé par u d’un terme à l’autre, on aura
h ou A,r = ( a-h p ^—i)k.
Par suite, si l’on remplace e x et e 7i , ou e^+V-ip« et e lxk+ 'J~ l $ k , par leurs
expressions explicites
e rMl cos p u 4- \J—■ 1 e a “ sin p «, e rxk cos P k -H y/— 1 e rj - k sin p k,
(e aÆ cos pÆ — 1) — \J— 1 e rxk sin p k
(e aA cosp/c — i) 2 -4- (e aÆ sin pk) % ’
ce qui donne