d
4g4* INTÉGRATION DES ÉQUATIONS LINÉAIRES, HOMOGÈNES EN — ET A 2 :
mouvement produit par des impulsions, c’est-à-dire par des vitesses
initiales, que dans le cas de mouvements consécutifs à de simples
déplacements initiaux. Tandis que les intégrales définies de laXXXIII e
Leçon suffisaient pour résoudre celui-ci, l’autre a demandé, en outre,
la mise en œuvre d’un potentiel logarithmique. Nous sommes donc
conduits à des questions où il y a lieu d’employer simultanément des
potentiels et des intégrales de la XXXIII e Leçon. Les plus intéressantes
de ces questions feront l’objet de la Leçon suivante.
Terminons celle-ci en observant qu’on pourrait, au prix d’une inté
gration, par rapport au temps, entre les limites zéro et t dont la
seconde est variable, éliminer le potentiel logarithmique (88), c’est-
à-dire éviter les deux intégrations qu’il implique, dans l’espace,
entre des limites fixes. En effet, la dérivée , égale à — A 2 © d’après
(87 bis) ou, identiquement, vu la première (86) [p. 488*], à
ne contient pas le potentiel (88), car la fonction A 2 F n’y est autre
que —-fi. Donc la dérivée se trouve immédiatement donnée par
la formule
et une intégration par rapport à t, effectuée, après avoir multiplié
par dt, à partir de la limite ¿ = 0 où s’annule, en déduit
sin p 2 dm'.
0
C’est sous cette forme, facile à déduire directement de celle de a ('),
(') En effet, si l’on admet qu’on ait remplacé, dans cp, F (H, r,) par /,(?, i\), cette
expression (88 ter) de ne sera autre que cp, = / ydt. Or, d’une part, comme la
dérivée -f s’annule pour t — 0, une telle valeur de cp, donne identiquement