514* INTÉGRÂT. DES ÉQUAT. AUX DÉRIV. PART. DES ONDES PAR ÉMERSION
sure que ¡a grandit ou que cos ¡a varie plus vite. Comme d’ailleurs y
décroît en même temps, ces éléments forment une série de termes à
signes alternés, dont la valeur absolue diminue, de l’un à l’autre, très
graduellement, dès que ¡a devient sensible, et dont ceux d’un ordre un
peu élevé sont absolument négligeables devant les premiers.
On peut donc se borner à ceux-ci, c’est-à-dire aux éléments cor
respondant aux petites valeurs de ¡a, qui font varier cos ¡a et +'(Y)
avec une rapidité bien moindre que les autres. Or ces valeurs rendent
, . , r- l ¡a 2 \ , t 2 r-[A 2 . J
y sensiblement égal a — ( i— — ) ou a — expression dont
t 2
le second terme acquerra, si — est assez grand, des valeurs sensibles
quelconques, malgré la petitesse de ¡a. De plus è/(y) y est réduc
tible à
\fïz
t 2 TT
4r 4
t 2 <j. 2
Sr
! -£[
Tt\ t 2 [X 2 . ( t 2
t 2 lA 2
"sT 7
Par suite, l’intégrale paraissant dans la première (i 19) devient, à une
3 /1 2 \ 3
faible erreur relative près, vu que le facteur y 2 ou ( — cos ¡a) 2 se con-
O 2-
fond presque avec
t 3 Ti f Í t
~F cos 7
16 7’ \/ r L \4
\r \J r
pour les éléments principaux considérés,
? - i)f. cos ^ +sin (£ - Djf sin t?*
ou bien, par l’emploi des formules (82) de la page 127*, dans lesquelles
on fera x— ¡a, h — ~ >
1 8/-
Et la dérivée de cette fonction par rapport à t sera sensiblement, à
cause de la très grande valeur supposée de —, —1 — cos—^ — •
11 4>’ 2^2 \4'’ \r] %r
On aura donc, en définitive, comme forme asymptotique de l’expres
sion (119) de h,
(121)
1 dq
pour —_ très grand \ h —
2 r / v 2
t 2 t 2
7-cos —
4 r 4 r