AIRE LIMITÉE PAR UNE COURBE ÜNICURSALE.
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ment à l’jnij.
* au moyen de
' llD naìtre celli
e< limites sont
supposant le mouvement uniforme et d’une vitesse égale à l’unité.
Alors, si l’on compte à la fois les arcs et le temps à partir du point de
départ du mobile, le temps t égale l’espace s, et les intégrations se
font, par rapport à s, entre le limites s — o, s — S, S désignant la lon
gueur totale du contour.
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i triple formule
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empst. pour lui
point mobile,««
28i*. — Application à une orbite unicursale; aire du folium de Descartes.
La méthode précédente conduit à de simples intégrations de diffé
rentielles rationnelles, entre limites faciles à fixer, quand l’orbite du
point mobile est une courbe unicursale, puisque alors on peut prendre
pour t la variable en fonction de laquelle s’évaluent rationnellement
les coordonnées x et y. Il faut seulement avoir soin, quand la courbe
forme plusieurs boucles, d’évaluer séparément l’aire contenue dans
chacune d’elles; car, si le point décrivant, au lieu de passer de l’une
à l’autre en contournant sans cesse la surface totale proposée, même
au point multiple où sa largeur s’annule et où les boucles se joignent,
l’y traverse au contraire, comme le lui impose ordinairement sa con
tinuité de direction, les aires de deux boucles tracées consécutivement
se trouveront affectées de signes différents dans les intégrales f xdy,
fyd x; de sorte que celles-ci, évaluées pour l’ensemble, n’en re
présenteront que les sommes algébriques, excédents effectifs de cer
taines aires sur d’autres.
Les formules deviennent particulièrement simples quand l’orbite
est, ou du second degré, et rapportée à une origine en faisant partie,
ou du troisième degré et pourvue d’un point double choisi lui-même
comme origine. Dans ces deux cas, en effet, le rapport^ peut servir
de variable auxiliaire t (p. 26*); et comme, sous le signe J" du dernier
membre de (17), l’expression xdy—ydx est identique à a.f-d J —-.
il vient
(18)
Aire =
sin y
2
„t —t Q -f-T
/ x-d
d t =f 0
y _ sin T
x 2
Appliquons, par exemple, cette formule au folium de Descartes.
C’est la courbe définie, en coordonnées rectangles, par l’équation
x 3 -j-y s — Ç l ) xy ~ o, et qui, gardant cette équation (pareille en
x et y) après l’échange des deux coordonnées x et y dû à une demi-
rotation de la courbe autour de la bissectrice de l’angle des xy posi
tifs, est évidemment symétrique par rapport à cette bissectrice. Aussi