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PROPORTIONNALITÉ DE L’AIRE A L’ARC, DANS LA CHAINETTE. 63*
se réduit à l’arc même, 6, dont le cosinus et le sinus sont, par défini
tion, les coordonnées x et y de son extrémité; mais ce qui, dans le
cas de la branche considérée d'hyperbole équilatère, montre que les
coordonnées x, y y sont de même les cosinus et sinus hyperboliques
du double secteur correspondant n.
L’hyperbole équilatère présente donc une analogie analytique pro
fonde avec le cercle, sinon dans les arcs, du moins dans les secteurs,
malgré la disparité des formes; et, grâce à cette analogie, les fonctions
cob, sih trouvent, comme on voit, dans l’hyperbole équilatère, une re
présentation géométrique simple, celle qui leur a justement valu le
nom de fonctions hyperboliques. L’analogie s’étend d’ailleurs à la
fonction tahcr, devenue, semblablement à la tangente naturelle dans
le cercle, la pente ^ du rayon vecteur r déterminant le double secteur a
d’hyperbole.
289*. — Courbe plane dont les arcs sont proportionnels aux surfaces
qu’ils limitent au-dessus de l’axe des abscisses; rectification de la
chaînette.
En rapprochant les deux applications que nous avons faites des in
tégrales définies aux courbes planes rapportées à des axes rectangu-
laires, savoir, d’une part, le calcul de la surface
y dx comprise entre
ces courbes, l’axe des x, une ordonnée fixe d’abscisse a et une ordonnée
mobile d’abscisse x, d’autre part, l’évaluation de l’arc correspondant
i-h y' 2 dx, on peut se demander pour quelle courbe les deux
intégrations n’en feraient qu’une, les aires y étant sans cesse propor
tionnelles aux arcs. Comme, d’ailleurs, le coefficient de cette propor
tionnalité variera de zéro à l’infini suivant l’unité de longueur adoptée
(vu que la mesure d’une même ligne est en raison inverse de la gran
deur de l’unité et l’aire d’une même surface en raison inverse du
carré de celte grandeur), le rapport constant de Faire à l’arc devien
dra ± i par un choix convenable de l’unité dont il s’agit : et l’on
pourra de plus rendre positif, s’il ne l’est pas, ce rapport, en renversant
le sens de l’axe des y; ce qui laissera invariable l’expression de l’arc,
mais changera le signe des y ou celui de / ydx. Ainsi la courbe
a
cherchée devra être telle, que Faire et Farc, nuis initialement ou pour
x~a, soient constamment égaux, c’est-à-dire y croissent de diffé
rentielles y dx et y'i y' 2 dx sans cesse pareilles.