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I. - 2G AVRIL i 636
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re fois. Je me
de mon obéis-
M. de Beau-
stime très sin
gulière ; il a l’esprit merveilleusement inventif, et je crois que sa
Géostatique (') sera quelque chose de fort excellent. Je lui écrirai dès
que vous m’aurez donné de ses nouvelles.
8. Je serai aussi bien aise d’apprendre par votre moyen tous les
Traités ou Livres nouveaux de Mathématiques qui ont paru depuis
cinq ou six ans.
9. Je vous envoierai Xhélice ( 2 ) que vous me demandez, par la pre
mière commodité.
10. Et vous dirai cependant que J’ai rétabli entièrement le Traité
d’Apollonius : De locisplanis ( 3 ). Il y a six ans que je donnai à M. Bra
des, que peut-être vous connoissez, la seule copie que j’en avois,
écrite de ma main. Il est vrai que la question là plus difficile et la plus
belle, que je n’avois pas encore trouvée, y manquoit. Maintenant le
Traité est de tous points accompli, et je vous puis assurer qu’en toute
la Géométrie, il n’y a rien de comparable à ces propositions. J’en ai
fait voir quelqu’une à M. de Beaugrand.
11. J’ai trouvé aussi beaucoup de sortes d’analyses pour divers pro
blèmes tant numériques que géométriques, à la solution desquels
l’analyse de Viètc n’eùt su suffire.
De tout cela, je vous en ferai part quand vous voudrez, et ce sans
nulle ambition, de laquelle je suis plus exempt et plus éloigné que
tous les hommes du monde.
12. Je voudrois pourtant qu’il vous plût, sans me nommer, proposer
aux plus habiles de delà les deux questions suivantes à soudre, pour
( 1 ) Joannis | do Beaugrand | Régi Francise Domui | Regnoque ac ærario j sanction a
consiliis secretisque | Geostatice ( seu | de vario pondere gravium | secundum varia a
lerræ < centro > | intervalla | Disscrlatio mathematica | . — Apud Tussanum Du Bray,
via | Jacobæa, sub Spicis maturis | M.DC.XXX.YI. — (Bibl. Nat., V 122, f°). — La dé
dicace, à Richelieu, est datée du 20 avril iC36.
( 2 ) Voir ci-après Lettre III, 3.
( 3 ) Voir Tome I, pages 3 à 5i. — Il semble que la proposition que Fermai n'a trouvée
qu’en dernier lieu soit la septième du Livre I (T. I, p. 24); il avait en effet achevé le
Livre II dès 1629. Voir ci-après Lettre XXI, 3.
’estime qu’il
do la double
ue bien qu’il
rents et des-
l’ouïe la plus
ue peut-être
tion double,
baillé, nous
rendons-leur
’aire nous ail
i rendent vi
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i, on trouvera
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ics : le son de
c qui consiste
ccord qu’elle
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. Car, comme
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M. de Beau-
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