mmBmmiÊÊiKÊÊiÊÊimmmmMÊÊÊtKÊÊtmiaBmÊmÊKtÊÊÊÊi^r^jmÊm
l38 DES INTÉGRALES DOUBLES; ÉVALUATION
seule, z-=f{x,y), donnée alors immédiatement, et qu’elle ne peut
même recevoir des valeurs absolues quelconques (puisqu’elle dépasse
nécessairement l’unité), il y a lieu de demander aux volumes, plutôt
qu’aux surfaces, la représentation purement géométrique générale
des intégrales doubles, de même qu’on a eu recours aux aires, et non
aux arcs, pour avoir, en géométrie plane, une expression générale et
purement géométrique des intégrales simples.
Rappelons-nous donc la manière dont s’évalue un volume, en nous
bornant d’ailleurs au cas d’axes rectangulaires, mais en indiquant ana
lytiquement le détail des opérations, ce que nous n’avons pas encore
fait.
Soient AB le corps dont il s’agit d’exprimer le volume et A'B' son
contour apparent sur le plan des xy. Admettons que, pour tous les
points (x, y) intérieurs à ce contour, m par exemple, la surface ait
seulement deux ordonnées ou valeurs de z, savoir la plus grande wM„
que nous appellerons z¡, et la plus petite mM 0 , que nous appelle
rons s 0 . L’équation de la surface, résolue par rapport à z, les fera
connaître en fonction de x et y : nous les représenterons par f Y {x, y)
et par f 0 [x, y), c’est-à-dire que nous poserons
(i) mM, ou z x mM 0 ou z 0 — f 0 (x, y).
Admettons de même que l’équation en x el y du contour apparent
Fig. 57.
donne seulement, pour chaque valeur OQ =x de l’abscisse, deux or
données y 0 — QP 0 , QPi, et désignons-les respectivement par