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INTEGRALES GÉNÉRALES; FACTEURS INTÉGRANTS, ETC.
©!, © 2 , ©3, ... désignant certaines fonctions de x, y, z, a
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Et
elles seront alors les analogues de 1 '‘intégrale normale cp{x,y) = c
d’une équation différentielle unique ; car une simple différentiation
en éliminera la constante arbitraire que contient chacune d’elles.
Les intégrales du système (i), mises sous cette forme normale, peu
vent donc être représentées par la formule unique o{x,y,z,u,...) —c;
et l’on voit qu’il y en a toujours n distinctes, c’est-à-dire suffisantes
pour déterminer, en fonction des quantités x, c 1? c 2 , ..., c n , des
expressions dey, s, a, ... dont on puisse arbitrairement se donner,
par un choix convenable de c 1} c 2 , .. ., c„, les valeurs y 0 , z 0 , u 0 , ...
répondant à la valeur initiale x 0 , également arbitraire, de x. Si l’on
différentie l’une quelconque de ces équations, écrite cp ~ c, en obser
vant d’ailleurs que y r , z', u', . . . sont, d’après les équations propo
sées,/^,/, -,...), f 2 {x,y, z, on aura
do do , do do
dx ' dy'' dz dit^ 3
(6)
/ ou
do
dx
Ainsi, il existe, entre les dérivées partielles premières de la fonc
tion cp de x, /, z, u, . . ., et les fonctions données f u / 2 ,/ 3 , ... de
ces mêmes variables, des rapports tels, que l’expression de
se confond avec ; et, cela, pour toutes les valeurs possibles de x,
y, z, u, ..., puisque chaque valeur de x pourrait, à son tour, être
adoptée comme valeur initiale, et que les valeurs correspondantes de
y, z, u, . . . seraient, alors, susceptibles d’être choisies arbitraire
ment. L’égalité (6) est donc une identité.
Gela posé, prenons les équations différentielles (i) sous la forme
(7) dy — f v dx = o, dz — f^dx — o, du —/3 dx — o, ...,
et ajoutons-Ies, après les avoir respectivement multipliées par
■7— y ~r~ 5
• • • Si nous remplaçons, dans les résultats