STÖRUNGEN DER PALLAS. EXPOSITION D UNE NOUVELLE METHODE ETC.
Si, an lieu des deux forces m T, mV, nous en introduisons deux autres mR,
mS, qui agissent également dans le plan de l’orbite, mais, la première dans
la direction parallèle, la seconde dans la direction perpendiculaire à la ligne
des apsides, ou plus exactement, que ces forces soient parallèles aux rayons
de la sphère menés du centre vers les points P, O, nous aurons
mR = y cos P Q — — £cos XP—7]cos YP—£cos Z P
mS =^cosFIQ =—£cosXll — y]cos FTI — £cos ZU,
où l’on peut mettre les valeurs des cosinus données par les équations 36—41.
Nous aurons aussi
T = R cos {v — w) S sin (v — w)
V — — R sin (v — œ) -f- S cos [v — w).
Nous ne donnerons ici que les résultats de la substitution de ces valeurs
dans les différentes expressions des variations instantanées des élémens, en
supprimant les détails des développemens, et en réduisant tout à la forme qui
nous paraît la plus commode pour le calcul numérique :
72)
73)
74)
75)
d« = _ a^infr-œ). Enàt+ 2a‘co aT .çç i Æ Snàt
cos cp 1 r
_ Sacwsin (v — &) ^ 3 a 3 neos 9 . cos E
dep = —aa cos P. sin [v — &). Rndtaa[lcos E. cos{v— atySnât
dw = (1 —cos¿)dñ — aacotangcp^l 4- rS1 ———^Rnd14- ar °--Sndt
(1 —cosf)d& — — (coscp -f-sin 25. sm(y — â))Rndt
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