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NACHLASS.
f(T-H-6), f'(r + f6), f(T + *6) etc., f"(r+6), r(T+ 26), r(r+3 6) etc.,
{'"(T-j-fd), 5.Q) etc. etc. Supposons de plus
fi = fi“ 1 ) (t -f i 6) - f(i - * 6)
On pourra donner une valeur arbitraire à f (— ^{T — -J-6), et l’addition succes
sive des valeurs de fi donnera les valeurs de f (—1} ( T-j-6), f (— ^(T-j-l-6),
f( —1) (T'-}-f6) etc.; de même on donnera une valeur arbitraire à f (_2) (T—6),
et l’addition successive des valeurs de f (—,} i donnera les valeurs de f (— 2) T,
f ( ~ 2) (T-\-d), f (—2) (T-[-2 6) etc. et ainsi de suite.
Cela supposé nous aurons
i. fu. a t = «+e t- T H v rt+ r w^rt- TÎ[ imhrr{ m t
"f - TIïWïVoVA'TT'ò f IX £ — etc. |
II. ffù.df = ai+p + 00 lf ( - 2) ^ + TV^-^f"i4-wVwf IV ^
, L A 8 9 f vi f I JJ 7 f VIII f pf p )
â 62ÏWo 1 mitïoîîo o 1 1 etc, j,
a et p étant des quantités constantes.
Les coëfficiens de la première série se trouvent en divisant l’unité par
* i * i 1.3
= 1
_ log (V I +\XX) + \ x) '
a
X
1.3.5
8.16.24
X
1.3.5.7
8.16.24.32
x s — etc.
Élevant le quotient au quarré, on aura les coëfficiens de la seconde série. Les
puissances plus élevées du quotient donneraient de même les coëfficiens de
séries analogues pour exprimer les intégrales f 3 it. di 3 etc., dont nous n’avons
pas besoin dans notre recherche.
Voici encore deux autres séries, dont on peut faire usage:
in. fît.dt = a + i6|(f(- , )(i-i6) + f<- , )(t+ie))-TV(f'(<-+6) + f'(<+49))
“htVtt(I |-6) + f (i-j-^-6))—^0) —{— f v (i —(— L0)) —1— etc.j
IY.//fí.dí í = a/+p+i06|(f(- 2 >( í -,}6)+f<- 2 )(í+i6))-*(f(í-+e) + f(í+l9))
+ itti (f (f t 0) + f ” {t - r 16)) — tsVAt (f IV [t — i 0) + f Iv (f +10)) + etc. Ì •