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STÖRUNGEN DER PALLAS. EXPOSITION ü’uNE NOUVELLE METHODE ETC.
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Les coëfficiens de la troisième série se trouvent en divisant 1—-Ixx-
1.2.5
8.16.24
loppant en série
—}— etc. par 1—%»\xx
1.8
8.16
■X
1.8.5
8.16
8.16.24
-f# +etc. ou en déve-
\J (1 +ÌXX) . log (y/ (1 + ±xx] + p)
De même les coëfficiens de la quatrième série naissent du développement de
\/ (1 + ixx). j log (V (1 + i XX) + \x) j 2
On a encore plus facilement les coëfficiens de la quatrième série, en multi
pliant ceux de la première par 1, —1, —3, —5, —7 etc. On pourrait aussi
exprimer d’une manière analogue les intégrales d’un ordre plus élevé.
Nous supprimons ici les démonstrations de ces théorèmes, puisqu’elles
peuvent être déduites facilement de la théorie des fonctions génératrices, qu’un
illustre géomètre vient de donner.
19.
En appliquant ces méthodes d’intégration à nos variations des élémens,
on aura, sauf les constantes que l’intégration introduit, les valeurs de i, &,
cp, n, (b, s, pour les époques intermédiaires à celles pour lesquelles on a cal
culé les variations instantanées, et la valeur de fndt pour ces époques mêmes,
si on se sert des formules I, II; ou vice versâ, si on préfère les formules
III, IV. On peut aussi pour l’intégration simple employer la formule III, et
pour l’intégration double la formule II; on aura par la tous les elemens pour
les mêmes époques. Au reste cela est asses indifférent, puisque ces valeurs
des élémens ne doivent servir que pour en déduire, au moyen des méthodes
connues d’interpolation, celles qui se rapportent aux époques des differentes
observations. Le calcul de ces observations fournira, d apres des méthodes
connues, les valeurs des constantes, qui sont au nombic de sept, mais qui se
réduisent à six, puisque la constante a qui résulte de J' -^dt, et la constante
P qiu provient de fndt ou f J*^jdi 2 , se confondent en une seule.
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