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VARIA.
selon que M est en dedans de l’ellipsoïde ou en dehors.
(2.)
(3.)
8p y- q -BC. cosp sinp = X
dp.dq.ABG.smp ^({a—x)x , [b — y)y , [c — z)z\ v
r 3 ^ X t\ AA BB ' CG J ^
Les intégrales (2) et (3) ne pouvant être obtenues par les méthodes
connues, j’y parviens de la maniéré suivante. En faisant X = ABCz, nous
avons
(4.)
É =
(5.)
5 =
//■
dp .dq. cos p. sin p
Ar
dp . dq. sin jp
(<a — x) ^
( [a — x)x |
[d—y)y |
(c — g)z\
V AA
BB 1
cc r
Maintenant je considéré A, _B, C comme des valeurs particulières de trois
variables a, p, y, liées entre elles par la condition, que aa — [3(3, aa —yy soient
des quantités constantes. On conclut facilement de l’équation (4), que a
croissant à l’infini, £ diminuera continuellement: on a donc, pour a infini,
£ = 0. Je differentie l’équation (4) par rapport aux variables a, p, y, d’où il
s’ensuit, en emploïant la characteristique 8,
a g£4-£g a = _ j j dp.dq.oosp.smp.hr
_ f C dp.dq.xsmp /[a— x)x . [b — y)y , (c — z)z\
~ JJ r 3 \ aa 'pp ' ni
ou, mettant pour S sa valeur, tirée de l’équation (5),
se 2, C C dp. dq. a. smp
aôÇ = oa.Jj %. —
' [a — x] x !
[b —y) y 1
r
'cT
1
M
aa 1
PP
rr ï
Cette équation, comparée à l’équation (1), nous donne
tandisque M est en dedans du corps, et
(7.) 8^ = 0,
tandisque M est en dehors du corps. L’équation (7) nous enseigne, que £
reste constante, ou l’attraction proportionelle à la masse, pour tous les sphé
roïdes, dont les ellipses principales ont les mêmes foïers, pourvuque le point