DÉVELOPPEMENTS EN SÉRIE.
de M?
sullant
mes de
en M?
nation
equa-
fonc-
rinci-
nous
, la
qua-
dant
qui
pale
m-
9 3
dants Mi seront les racines d’une équation algébrique de
degré <r. Soient M, une de ces racines, r, son degré de
multiplicité; on aura dans l’équation q, groupes de r, ra
cines égales. Donc
< r -
et, par suite,
qq^'y^n.
98. Posons maintenant
d’où
x 1 = x\', y 1 = M t x^ + y 2 ,
x — xfl', y — M xPV 1 4- M t xP' + y 2 •
On aura une nouvelle équation eny 2 , que l’on traitera comme
la précédente.
Continuant ainsi, on obtiendra, pour l’une quelconque
des racines de l’équation proposée, un développement de la
forme
y — MXMi»r-+ MjX^^-4- M 2 X^-4-. - - ,
en posant
Le produit qq\q2* • • oc pourra d’ailleurs surpasser n,
quelque loin que l’on pousse le développement. 11 arrivera
donc nécessairement un moment à partir duquel les entiers
qii Çi+\i ... se réduiront à l’unité. Il existe donc une quan
tité X, puissance fractionnaire de x, telle que le développe
ment de y suivant les puissances de X, prolongé aussi loin
qu’on le voudra, ne renferme que des puissances entières,
x
Soit d’ailleurs X = x 9 . L’équation
f{x,y)=o
pourra s’écrire
/№/) = o.
Elle ne change pas si l’on y remplace X par OX, 0 étant
l’une quelconque des racines p lème3 de l’unité. Donc la racine q,
que nous avons développée suivant les puissances de X, fera