PREMIÈRE PARTIE. — CHAPITRE III.
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i 125. Corollaire I. — Une série s = u K + w 2 + • • • à
termes positifs est convergente (divergente) s’il existe une
valeur [a î/i/, nombre variable n à partir de laquelle on ait
constamment
'fu n <r, {fu n > r),
r étant une constante plus petite (plus grande) que
V unité.
En effet, à partir du moment où l’inégalité est satisfaite,
les termes de la série seront respectivement plus petits (plus
grands) que ceux de la progression géométrique convergente
(divergente)
r + U- -h r n + . . . .
1 13. Corollaire II. — La série s sera encore conver
gente (divergente) s’il existe une valeur u du nombre n
à partir de laquelle on ait constamment
a n-M
u n
( 11,1+1
\ Un
> r
r étant <C i, (>-1).
On aura, en effet,
¿¿p.4-1 < \. f j
(«H+-1
A
/ \
U'j.+î < ,. rii^y^ <4 r- u¡¿,
( Uyy 2
> U uf,
A
T
A
"P
( Un >
> r n ~* u.gj
Les termes u + ,, . . ., u /l: . . . seront donc moindres (plus
grands) que ceux de la progression géométrique convergente
(divergente)
rUp -h r- Uy + . . . .
114. On obtient un critérium de convergence plus précis
en considérant la série
H