DÉVELOPPEMENTS EN SÉRIE.
I I I
indice.
[ui lui—
+ • • • »
i série
ermes,
onver-
ement
. . des
assez
5oit K
a aura
, dans
5 sera
d’où
mod (K — s n t„)
< U.V fi -r Ua'Vg' + • • •
< ( U ! + U 2 +. ■ + U ll+ p ) ( V , l+ i 4- • .. h- \ n+/) )
+ (U«+i ■+■ • • + U^p) (Vt 4-. .. 4- V»)
<S(Y„ +1 \ a+p ) -h T (U„ +1 4-. .. +U w+ p).
Gelaposé, faisons croître n indéfiniment; U w+ -t-U w+/>
et V //+ i + . . . + V /i+p tendront vers zéro, quel que soitp ; on
aura donc
mod (K — s a t n ) < e,
s étant aussi petit que l’on voudra. Donc K se rapprochera
indéfiniment du produit s n t n , qui lui-même aura pour li
mite st.
123. Définition. — Si la série
s — Uy-\- u % n- . . .
est convergente, mais la série des modules
S = U t h- U 2 -h...
divergente, on dira que la série s est semi-convergente.
Comme exemple de ces séries, on peut citer la suivante :
1,1.1
JNous avons vu, en effet, que la série des modules
S=.i
i.i.i
est divergente.
D’autre part, s est convergente. On a, en effet,
u n+i H - u nA -2 4- •
i - /f n+p
I I
«4-2 ‘ «4-3
La somme entre parenthèses est positive, cardiaque terme
négatif y est précédé d’un terme positif plus grand que lui.
grand