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log(i — z)
Cette quantité reste finie pour toutes les valeurs de 5 que
nous considérons. Toutefois elle croît au delà de toute limite
si 5 se rapproche suffisamment de zéro.
128. L’importance de la notion de la convergence uniforme
résulte du théorème suivant, que nous démontrerons dans
le Calcul intégral.
Si la série s est convergente dans un certain intervalle
et si la série
S U j —|— u 2 U,j + . . .
des dérivées de ses différents termes est elle-même unifor
mément convergente dans ce même intervalle, s sera, dans
cet intervalle, une fonction continue de z, et sa dérivée
sera s'.
129. Considérons, en particulier, une série
s cîq ~i~ z> —1 - • . • et u *2»^ ~v~ • • •
procédant suivant les puissances entières et positives de la
variable 5. On pourra donner à z une valeur telle que les mo
dules M 0 , M,,..., M w , ... des termes de la série ne surpassent
pas toute limite (la valeur z = o satisfait toujours à cette con
dition ).
Parmi les valeurs de z qui jouissent de cette propriété, soit
s celle qui a le plus grand module, et soient R ce module,
P limite supérieure des modules M 0 , M l5 ..., M /2 , ... pour
z—T.
Ihéorèmk. — La série s est absolument et uniformément
convergente pour les valeurs réelles ou imaginaires de z
dont le module ne surpasse pas p, p désignant une quan
tité quelconque inférieure àR,