DÉVELOPPEMENTS EN SÉRIE.
I2 7
ic amené
pendante
5 des va-
ondantes
fonctions
culer, si-
que l’on
que, que
lante dé-
> entières
cercle de
fonction
i corros
ion dans
+ bi par
1 z, cosz,
de diffi-
îs valeurs
pressions
1 sens. Il
tendra de
les de ces
ariable x,
représen-
On se trouve donc naturellement conduit à prendre ces séries
pour définition de nos fonctions, que 5 soit réel ou imaginaire.
En vertu de ces définitions, on aura immédiatement
iz z^ i n z n
(4) ~1 + •— F • • • H— -\- • • • cos z i sin z,
■ I 1.2 1.2.. .n
tKS ... iz Z 2 (— i) n z n
(5) —1 1 -\ 1 = cos^—1 sin
' I 1.2 I .2. . . n
et, par suite,
_1— (?
(6) cosz — -—— 5
p lz P lz
(7) sin ~ =
Ces formules fondamentales, établies par Euler, réduisent
les fonctions trigonométriques aux exponentielles, et réci
proquement.
140. Il est aisé d’établir que les propriétés essentielles de
ces fonctions, démontrées pour les valeurs réelles de la va
riable, subsistent pour les valeurs imaginaires.
En effet, prenons les dérivées des séries (1), (2), (3); il
viendra immédiatement
[e z )'— 1 -t-
(sin z)'— 1 —
1.2 1.2.3.4
(cosz) r =— z H —
1.2.3
1.2 . . . ( n — I )
] 7 + • • • = cos^,
D'autre part, formons le produit e a e h . En groupant en
semble les termes de même degré, il viendra
(8)
e l e’=i-\-
- +
h
a*-* h*
1.2...«
a -+- h
1.2...(« — i).i ‘ 1.2...(« — 2).1.2
( a -t- h ) " ,
+ ■
1
1.2... «