DÉVELOPPEMENTS EN SÉRIE.
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J. — Cours, I.
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s sinus et
t compte
Les équations (10) deviendront alors
C0S<f = C0Sr, sin© —sinr
cl donneront
k étant un entier quelconque, positif ou négatif.
Nous voyons par là qu'un nombre fini et différent de
zéro, tel que z = p (cosy 4- i sin©), a une infinité de loga
rithmes, donnés par la formule
ion expo-
(11) Logp h-.î (© 4- 2 kf.
e z . Éten-
variahle,
La lonction log5 a donc une infinité de valeurs distinctes
pour chaque valeur de z. Si z est réel et positif, on aura
? = o, 5 = p;
l’une de ces valeurs sera réelle. C’est le logarithme arithmé
tique. Si z n’est pas réel et positif, il n’aura que des loga
rithmes imaginaires.
),
142. Soit
a — p (cos© 4- i sincf ),
b = p'(cos©'4- isin©'),
d’où
ah — pp' [cos (© 4- cp') -t- i sin (0 + tp')].
On aura
soient in-
l que soit
: peuvent
log« = Logp -1- f(cp 4- 2 /1 -),
logé —Logp' 4- ¿(<p , H- 2k'it),
logab = Logpp'-h i(© 4- cp'-t- 2 k”tc),
d’où
■0. Ajou-
(12) logab = loga 4- log6 4- airi{k"— k — k').
[ue x est
Le logarithme d’un produit est donc égal à la somme des
logarithmes des facteurs, aux multiples près de 2-i. Cette
ambiguïté est nécessaire, les logarithmes qui entrent dans la
formule n étant définis qu’aux multiples près de 2~f.
Enfin l’équation