DÉVELOPPEMENTS EN SÉRIE.
ërentia-
DÉVELOPPEMENTS EN SÉRIE. i3j
P
Donc z r] n'aura que q valeurs distinctes, qui s’obtiendront
en posant k = o, i, . . ., q — i.
Si m est incommensurable ou imaginaire, on voit aisément,
au contraire, qu’à chaque valeur de k correspond une valeur
distincte pour z m . Ces valeurs seront donc en nombre infini.
l positif
144. Prenons la dérivée de l’équation (i3) ; il viendra
{z m )'— — é mlo s z = me (m ~^ l0 s z =.: mz m ~K
t étique,
la fonc-
de z et
Soit enfin m — m'-f- m"; on aura
rrin' r-m" gin' [Log p+i (o+2Î 'it)l qTii"[Log p+i (®+2Â-’'t:)]
— g(m'+m''j[Log a+i (¡¡+2kT.)]+2T.i (k'/n'+k"/n"—km)
suscep-
biguïté.
— rr7n'+m"(k’ m'+k" m"—km)
C’est la généralisation de la formule
z ,n ' z m "— z m ' Jr,n "
Iront en
relative aux radicaux arithmétiques. Elle n’en diffère que par
la présence du facteur e 2 ' K kk , m'+k"m"-km), laquelle ne peut être
évitée, vu l’ambiguïté des fonctions z m \ z m ", z m ' +m ".
teur
14o. Les transcendantes élémentaires e 3 , sins, cos£, log,s,
z m sont définies maintenant pour toute valeur de x, et nous
lier, car
i réduira
avons établi que leurs propriétés fondamentales persistent
après cette généralisation (140, 142 et 144).
En particulier, les fonctions e z , sin^, cos z, étant définies
-, deux
c l
un mul-
par des séries toujours convergentes, ont l’avantage de n’avoir
pour chaque valeur de la variable qu’une seule valeur, parfai
tement déterminée et toujours finie, tant que la variable reste
en effet,
l’un de
elle-même finie. Nous allons donc les discuter avec un peu
plus de détail.
3S tri go-
146. On a
e z+T.i —— gz ^ cos tc —i sin 7T ) — — e z ,
gZ+l-m — e :(coS2T: + i sin 2 Ti) — g 3 .