DÉVELOPPEMENTS EN SÉRIE.
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ictions se
2 de 2 ~i,
s par une
iL c j et
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it accrus
secondes
es loga-
variables
périodes
nction Z
jstèmes
îs en di-
;t, leurs
croît Z-i
a et 2 h
2 et 2 h,
onque;
On pourra poser de même
k , i
Ai — «i -r- T— >
ci\ étant un entier au moins égal à i, et A 2 une quantité >> i,
Continuant ainsi, on obtiendra pour A un développement
en fraction continue, tel que
A ciy h-
Ce développement sera évidemment limité si A est com
mensurable, illimité dans le cas contraire.
On nomme réduites de la fraction continue les fractions
P n a 0 P, _ r a n a, + i
Qo 1 Qi a \
h
Q 2
«o +
T
I
a n ai a, -+- a, -f- a,
«j Ci 2 -h i
192. Théorème. — On a généralement
, , ( P«. — a a P /; —i -t- P,1—21
I Q/î — + Q/t-2-
Cette formule est vérifiée pour n = 2 par les valeurs ci-
dessus de P 2 et de Q 2 .Nous allons d’ailleurs montrer que si
elle est vraie pour un nombre n, elle le sera pour n + i.
En effet, se déduit de —^ par le changement de a n
en a n —l — On aura donc
(2/1+1
P
Q
n-hl
a !l H ) P /i— 1 + P II—2
a v .u\
a n h ) Q«—i + Q«—2
(2/%+\ (a,, P n —\ -H Prr —’i ) + P«—l _ ( 2'/+\ P». Pw- i
a n+i { a n Q«—i ■+■ Q«-î)~pQ«-i ^/j+iQs + Qn-i