APPLICATIONS GÉOMÉTRIQUES DE LA SÉRIE DE TAYLOR. 2D~
el MT -i- TU est moindre que toute quantité donnée. Donc
elle est nulle.
278. On doit pourtant remarquer que, en faisant la figure
qui nous a fourni l’égalité
WT= MT + TT',
nous aurons implicitement supposé que M'T' était > MT. Si
M'T' avait été << MT, on aurait eu
N T - MT — TT'
et, par suite,
NU — MT — TU.
Soit donc MN un arc de la courbe G choisi de telle sorte
que la longueur de la normale comprise entre la courbe et
la développée varie constamment dans le même sens; on
aura
NU = MT + TU
si celte longueur augmente,
NU = MT — TU
si elle diminue.
Si l’on avait un arc MPN {fig. i5) tel que la longueur de
Fig- i5.
la normale augmentât de M en P pour décroître ensuite de
P en N, on aurait, en appliquant successivement le théorème
J. — Cours, I. r-