APPLICATIONS GÉOMÉTRIQUES DE LA SÉRIE DE TAYLOR. 279
On a d’ailleurs
Y ¡J. — ¡L = y (ac — Y a )—p(p«— «¿0
m — Cl (îc 2 H - p“ “H Y" ) a ( Cl a H - & P H~ C Y )
= — a,
C(X — b') = c(ac — '[Cl) — ¿>(P« — aZ>)
= a (a 2 -+- ¿> 2 + c 2 ) — a(aa + ¿>¡3 + cy)
— a.
Donc
et de même
d\ — — ah cls -+- ax ¿/y,
r/jx —. — b k cls H - |3v ds.
r/v •= — ck cls -\- y t <&•
299. Il résulte de ces formules qu’une courbe est complè
tement définie lorsqu’on connaîtra :
i° La loi suivant laquelle la courbure et la torsion varient
en fonction de l’arc s comme variable indépendante;
2° Les valeurs de x, y, z, a, b, c, a, ¡3, y, X, tx, v corres
pondantes à une valeur particulière de s, à la valeur zéro,
par exemple.
En effet, les formules précédentes donnent les dérivées,
par rapport à y, des quantités
a=
clx
cls ’
a , P, Y, L !-*■> v
en fonction de ces quantités elles-mêmes, de la courbure et
de la torsion. En les différenliant, on obtiendra les dérivées
secondes, et ainsi de suite. Mais, pour y — o, on connaît les
valeurs des quantités a, h, c, oc, ¡3, y, X, ¡x, v. On aura donc,
pour s = o, la valeur de toutes leurs dérivées.
Connaissant ainsi, pours=o, les valeurs de x, a=
da _ djv, , on p 0urr a calculer x par la formule de
ds ds 1