APPLICATIONS GÉOMÉTRIQUES DE LA SÉRIE DE TAYLOR. 32Q
et
d’où
c
c 1 — a'-
c 2 — b
Enfin, pour 3 = 0, on obtiendra, par raison de symétrie,
quatre nouveaux ombilics, en posant
o
On voit immédiatement que, sur ces douze ombilics, il y en
a quatre réels. Ce sont les quatre premiers, si l’on suppose,
pour fixer les idées, a >■ b >> c.
Ce sont les points de contact des plans tangents parallèles
aux sections circulaires. Cela devait être, car, pour un sem
blable point, un plan parallèle au plan langent et infiniment
voisin coupe la surface suivant un cercle, ce qui est l’une des
définitions des ombilics.
344. Courbure d'une surface. — Considérons, sur une
surface S, la portion tc limitée par une courbe C; soit o- son
aire. Par les divers points de C, menons les normales à la
surface. Par un point O de l’espace, menons des parallèles
à ces normales : elles formeront un cône. Décrivons autour
du point O une sphère de rayon i. La portion o-'de la surface
de la sphère contenue dans l’intérieur du cône se nomme,
d’après Gauss, la courbure totale de la portion de surface tz.
g /
Le rapport — sera sa courbure moyenne. Enfin, on appellera
courbure de la sutface S, en un point {oc,y, z), la courbure
moyenne d’un élément infiniment petit de cette surface con
tenant le point {x,y,z).