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PREMIÈRE PARTIE. — CHAPITRE Y.
quantités égales, au second ordre près, aux suivantes :
àf
x, x
dt
dfj df df ,
dt, . • . i ce —f- “T dt -4— —-—• ou —|— - dvj
dt du dv
dtp 7 dep dtp , dtp ,
y, y -r- ■■■■,, y -h ■— dt + 3^ du + 3^ dv,
dt
d
dt
dt,
dt
du
dv
1 dt + ^ du + ^ dv.
dt du dv
Les huit points qui ont ces dernières coordonnées sont les
sommets d’un parallélépipède infiniment peu différent de l’élé
ment proposé, et dont le volume sera, d’après une formule
connue de Géométrie, égal à la valeur absolue du détermi
nant
d 4dt
dt
4 d U
du
4 d,.
dv
tpdt
dt
^du
du
dtp ,
-A- dv
dv
— J dtdud i
3' dt
dt
d<p j
— du
du
4 du
dv
J désignant le jacobien des fonctions /, o, tL On aura donc,
pour la valeur principale dV de l’élément de volume cherché,
l’expression
d\ — mod ( idtdu dv).
330. Coordonnées polaires. — Posons, par exemple,
X — r sin X COS [J-,
y — r sinX sin ¡X,
z — /’cosX.
Les nouvelles variables r, p seront ce qu’on nomme des
coordonnées polaires.
Ajoutons les carrés de ces trois équations, il viendra
X 2 ~\- y 2 -h z 2 == r 2 .
Les surfaces r = const. sont donc des sphères ayant pour
centre l’origine des coordonnées.