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PREMIÈRE PARTIE. — CHAPITRE V.
Les surfaces z = const. représentent ici des plans paral
lèles au plan des xy; les surfaces r = const., des cylindres
droits ayant pour équation x- + y- — r 2 ; les surfaces
jj. — const., des plans = tang ¡a passant par l’axe des 5. Ces
surfaces se coupent à angle droit.
On aura d’ailleurs
ds- =i (cos \xdr — /■ sin [a ¿/ja) 2 —|— (sin ¡adr H— r cos[A<^h) 2 + dz 2
— dr*-+-Cdf + dz\
d\ = mod
COS [A — r sin [A o j
sin ja /■ cos ¡a o \drd\xdz
o o I I
— mod rdrd'idz.
352. Coordonnées elliptiques. — Les surfaces
X 2 t Y 2 Z 2
Ä+X + B + X + G + X — ’
où \ est un paramètre variable, forment un système de sur
faces homofocales du second degré.
Par chaque point x,y, z de l’espace passent trois surfaces
du système, dont les paramètres seront les racines de l’équa
tion
(5)
ad
A-h X
y 2
ii+1
— 1=0,
du troisième degré en f.
353. Cette équation a ses trois racines réelles, et respec
tivement comprises entre — A et — B, entre — B et — G,
en tre — G et + oo (en supposant, pour fixer les idées, qu’on
ait A > B > G).
En effet, posons \ = — A + s, e étant une quantité posi
tive infiniment petite, le premier membre de l’équation de
viendra
æ* __yf -s 2 _
s B — A — s G — A -h £