DÉVELOPPEMENTS EN SÉRIE.
dans l’équation (7) et faisant ensuite t = 1, il viendra
[ + h, y + k) —f{xy y) + (h
k 0) f(x ' y)
dx
(8)
, ax o y J
1.2 . . .{H —■ I)
/O; y)
/>
dx
-/(¿c-+-6 A, /4-6 A').
La formule (7), dont nous avons déduit celle-ci en y po
sant t = 1, suppose que
CD^O
A -
dx
A 'd~Ky /(x + ¿A, / -h tk)
est continue de t= o à i = 1.
Cette condition sera évidemment satisfaite si les dérivées
partielles d’ordre n de la fonction f{x, y) restent continues
lorsque x varie de x à x + h et y de j' à y k.
73. Si nous posons f{x, y) — z, h et k étant les accrois
sements de x et de y, on aura
/(x -t- A, y -h k) j\ x i y) — As;
[h ~ 4- k -j~'jf(x, y) sera égal à dz, .... La formule (8)
deviendra donc, en désignant par R /4 son dernier terme,
d 2 z d n ~ l z
A^î — dz —f—
1.2... ( n — 1 )
R,.
Cette expression est entièrement analogue à celle qu’on
avait trouvée pour les fonctions d’une seule variable.
”(90
IL — Applications.
74, Appliquons la formule de Maclaurin à la lonction
f{x) = (ï + x) m .