DÉVELOPPEMENTS EN SÉRIE.
I— n
ivait été
m.
ns, sui-
R /2 ten-
produit
H i)
X n .
> — G
: facteur
Enfin le
ît, clési-
n
— X.
Or, lorsque n augmente, le facteur —--—x tend évidem
ment vers — x. Sa valeur absolue tendra donc vers mod^c;
donc, en désignant par r une quantité quelconque comprise
entre modx et l’unité, on pourra assigner une valeur v de n à
partir de laquelle on aura constamment
. m — n
mod x < r.
Gela posé, on aura
modPv +1 < /' modP v ,
modPv-t-2 <C r modPv+i,
Les modules des quantités P v+1 , P v+ 2> • • ., étant respecti
vement moindres que les termes d’une progression géomé
trique dont la raison est ■< i, décroîtront au-dessous de toute
limite.
Si donc on prolonge indéfiniment la série du binôme, elle
sera convergente et tendra vers (i -f- x) m .
Si mod a? était >-1, la série serait au contraire divergente,
i ,, . , . y m — n + x
car le rapport d un terme au suivant est égal a — x,
quantité qui tend vers — x quand n augmente. Les termes
iraient donc croissant en valeur absolue.
75. Passons à la fonction f{x) == log(i -h x). On aura
f(x)= (i + ar)- 1 ,
f"{x)=- (i+^)- 2 ,
f"\x) = 1.2(1 + ¿c) -3 ,
— {—l) w 1.2 . . .{n — 2)(l + a?) ,i+1 ,
fn L=z ( . 2 . . . {n I ) (l + x)~ n ,
d’où
/(O) =0, /'( o) = i, /'( o)=-L
/ n+1 (o) = (— l) re I,2. . .{n — 2),
f n { §x) — (— l)" 4 - 1 ! . 2 . . . (n— 1) (1 + bx)~ n .