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DEUXIÈME PARTIE.
CHAPITRE IY.
et, par une suite de dérivations successives par rapport à a,
f ye-^dy =¡^i a y
J0
J 0 2 ‘
Il tant toutefois montrer que la règle de dérivation sous le
signe j est applicable dans l’espèce à chacune de nos inté
grales, bien que le champ d’intégration soit infini. Pour cela
il finit établir (lo7) que l’intégrale
=i
2n g—(a+0A)y â
y-"e
df,
où 0 est une fonction inconnue de y, comprise entre o et i,
tend vers zéro lorsque li tend vers zéro et p vers co .
Or, soit a une quantité positive quelconque inférieure à a.
Lorsque h sera devenu assez petit, a-\- 6A sera >• a, et l’inté
grale K sera inférieure à la suivante :
y
y2 n
df-
Mais, pour des valeurs suffisamment grandes de f, on a
constamment
v 2 « e -»r s < — .
y
Si donc on prend p suffisamment grand, l’intégrale K,
sera moindre que la suivante :
f * df _ 1
Jn y ~ P
laquelle tend vers o.
108. Passons à l’intégrale
I = f e ~ c, y i cos 2 by dy.