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DEUXIÈME PARTIE. — CHAPITRE IV.
172. Si, dans les formules (7), nous posons x=j-, il
viendra
/ cos y-dy— I sin y'-dy
- 0 Jo
2^2
Ces intégrales ont été rencontrées par Fresnel dans la
théorie de la diffraction.
173. Si a désigne une constante positive, on aura
f e~ ax =--,
J 0 a
et, en intégrant de a = a à a = ¡3, a et ¡3 étant positifs,
’ Q—KX Q—$X
r
= loi
Celte formule permet de reconnaître si l’intégrale
A e ax Be~ï x
dx,
où m, n, ... sont des entiers et a, ¡3, ... des constantes posi
tives, est finie et déterminée, et d’assigner sa valeur.
En effet, intégrons d’abord entre s et 00 , s étant une
constante positive, que nous ferons décroître ensuite jus
qu’à zéro. L’intégration par parties, appliquée au premier
terme, donnera
/
A e~“ x ,
dx
x m
[-
A
m — 1 x'
{m — 1 ) (m — 2 ) x'
(— 1V"— 1 A a" 1-1
dx.
J\ — — 2)... x
La partie intégrée, s’annulant pour x =. ce , se réduira à