DEUXIÈME PARTIE. — CHAPITRE IV.
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lorsqu’on fait tendre vers zéro d’abord h, puis le champ de
l’intégrale qui figure au second membre.
Or, r, r', h étant les trois côtés d’un triangle, on aura
mod(r'—>’)<^ et, par suite,
mod
^ 1 — mod
/• /'
ix(r'-r) = ¡X = fl
hrr < 7? < * ' “
Le module de l’intégrale aura donc pour limite supérieure
S
¡J. d V
S u- dV
~r^ A ~
Or, si nous passons aux coordonnées polaires définies par
les équations (i3), la première de ces deux intégrales de
viendra
|s| ¡a sin 0 dr e/0 dò
et tendra évidemment vers zéro, si le champ d’intégration
décroît indéfiniment. Il en sera de même de la seconde inté
grale, si l’on prend des coordonnées polaires ayant leur centre
au point (a -f- h, b, c).
Les dérivées partielles X, Y, Z étant toujours finies et dé
terminées, le potentiel U sera continu dans tout l’espace.
19o. Les fonctions X, Y, Z sont également continues
dans tout Vespace, et leurs dérivées partielles sont finies
et déterminées dans tous les points où les dérivées par-
tielles ^~ ^ sont elles-mêmes finies et déterminées.
c)x ôf az J
En effet, considérons, par exemple, l’intégrale X. On
peut décomposer le champ d’intégration en deux régions :
l’une formée d’une sphère t très petite, ayant pour centre le
point fi, b, c); l’autre T, comprenant le reste du corps atti
rant.
Considérons l’intégrale