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PREMIÈRE PARTIE, CHAP. IX,
et étant la constante arbitraire ; d’où l’on tire
y = b + [(/«—i) (a + K*')] 1 ”.
Donc pour que Ton aitj= b, il faudra que la quantité (¿H-K.r) 1 “ m
devienne nulle. Or, si m > o et < i, l’exposant ~Z~~ sera po
sitif, par conséquent il sera impossible de donner à a une valeur
qui fasse évanouir la quantité dont il s’agit. Mais si m > i, alors
X
l’exposant —A - devenant négatif, la quantité ( a Kæ y~~ m de
viendra nulle lorsque a sera infinie j car faisant a = ~, cette
quantité deviendra
T
I ?
(i 4- K. ex y n ~ l
laquelle devient zéro lorsque c = o.
La même chose a lieu lorsque m = i, alors l’équation primi
tive contient des logarithmes ou des exponentielles, car on a
y = K(r-i),
et divisant par y — h ,
^- k =-
dont l’équation primitive est
1 (y— b) — Ka? = la , d’où l’on tire y — h-\- ae Kx ,
e étant le nombre dont le logarithme hyperbolique est l’unité, et
a la constante arbitraire. Ici il est évident qu’en faisant a égal à
zéro, on auray = £.
Supposons encore Fy = \/Y, Y étant une fonction de y qui
devienne nulle lorsque y = h , on aura