PREMIÈRE PARTIE, CHAP. XL 117
pris entre les côtés | et - , et par conséquent opposé au côté
~, par les formules connues de la trigonométrie sphérique ; c’est
la valeur de z' lorsque u = o et 2 = m. Ainsi cet angle sera cons
tant en même temps que le côté — , tandis que les deux autres
varient.
Soit M cet angle constant, on aura donc
d’où l’on tire
'terminer
Si on fait cette substitution dans l’équation proposée en u, z et z
sin M ,, ri .
= rx, elle se réduira a cette
777 ’ *
et qu’on suppose , pour abréger,
forme
. / iU
sm —
dont l’équation primitive sera la relation entre les côtés - , - et —
2 2 2
d’un triangle sphérique, dans lequel jx sera le rapport des sinus
des angles aux sinus des côtés opposés, rapport qu’on sait être
le même pour tous les angles et les côtés opposés ; de sorte
que ce rapport seul étant donné, il restera l’angle ou le côté pour
arbitraire.
La considération du triangle sphérique peut servir à faire voir
plus facilement comment l’équation entre ses trois côtés satisfait
à l’équation précédente du premier ordre. Cette équation étant
z u , -, K . z • u m
COS — _ _1_ me il/l crm _ «in _ nr\c
on pre
de com-
si on prend les fonctions primes, en regardant s comme fonction