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THÉORIE DES FONCTIONS,
à laquelle satisfera cette relation algébrique ,
z u . . z • u //A + B cos m\
cos J cos J + sm - sm 5 1/\ a+B )
4- B cos m\ m
COS
Ainsi, quoiqu’on ne puisse pas trouver la forme algébrique des
fonctions fu, ïz, £m, on peut néanmoins trouver une relation algé
brique entre trois quantités z,u, m, telle que Ton ait
fs = ïu ■+ ïm.
Donc aussi, si dans l’équation précédente on change 2 en y, et «
en z j 011 aura
cos-^ cos 2 H-sin^ sm
2 2 2
, z //A + B cos m\
111 a V ( A + B /
et ir =
A —J— B
fs +- ïm.
COS
En changeant encore/ en .r, 2 eny, ce qui donnera
COS - COS^ -f- sin - sin 4 /(
2 2 2 2 y \
A + B cos m s
A+B /
COS
on aura de même
ïx = f}' +- ïm j
et ainsi de suite.
On aura donc successivement
fs = ïu ■+ ïm , ïyz=z ïu +- 2f'm, ïx := ïu +• 5fw, etc. ;
et les relations entre y, u et ni-, entre x, u et m, etc. se tireront
des relations précédentes, en éliminant d’abord z , ensuite y, etc.
On peut appliquer cette théorie à la forme générale de l’équation
que nous avons considérée dans l’art. 67, et en tirer des conclu
sions semblables ; mais si on rapporte, comme dans l’art. 69, les
formules précédentes aux triangles sphériques, il en résulte une
construction élégante que voici :
Soit formé un triangle sphérique, dont les trois côtés soient
z, u, m (pour éviter les fractions, je substitue les quantités 2z,
2u, 2m à la place de z, u, m dans les formules de l’article cité) ,
et