i48 THÉORIE DES FONCTIONS.
Mais en examinant les expressions de B, G, etc., on voit d’abord
qu’elles peuvent se mettre sous cette forme,
»=(£)'> c =^( ab )'-
D= g (AC -f- i B*y, E = i(AD+BCy, etc.,
en dénotant en général, par le caractère ( )', la fonction prime
selon x, de la quantité renfermée entre les deux crochets ; et si
on fait les substitutions successives, on trouve que ces expressions
sont réductibles à celles-ci plus simples ,
B = ;( A % C=^(AT, D = ^(AT, etc.,
en marquant par un trait, deux traits, etc. les fonctions primes,
secondes , etc. des quantités renfermées entre les crochets, relati
vement à la variable x• de sorte qu’en substituant la valeur de A,
on aura enfin
Z = X ( fr 3 )" + etc.
où les exposans de x indiquent des puissances de ïx.
86. Supposons maintenant qu’on demande la valeur d’une fonc
tion quelconque pz de z, développée de même suivant les puis
sances de j ; on fera u = <pz, et prenant les équations primes pour
faire disparaître la fonction <p, on aura
u! = p’z x d et u t = p'z X ,
d’où l’on tire
u' __ £
u v
Substituant la valeur de ~, tirée de l’équation z’ [z — x ) —
de l’article précédent, on aura cette équation du premier ordre
u’ ( z X ) JU t = O.
Supposons Ici
w^P-q-Oj+R^-f' Sr 5 ~H etc.,