SECONDE PARTIE, CEIAP. II.
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elle un contact du même ordre, ne pourra être menée entre l’une
et l’autre ( art. 5 ).
11. La courbe donnée qui forme le contact étant, par exemple,
une ligne droite dont l’équation la plus générale est
j — a — hx
o
ne sera susceptible que d’un contact du premier ordre, puis
qu’il n’y a que deux élémens a et h ; et l’on aura pour la déter
mination de ces élémens, les deux équations
j — a — hæ^=: o , j' — b •=. o ,
b=.y et ¿z=y—xj'j
d’où l’on tire
comme ci-dessus (art. 6).
Prenons pour la courbe du contact un cercle dont l’équation la
plus générale est
(x — a) 2 -f- (y— b) 2 — c* = o ,
elle ne sera susceptible que d’un contact du second ordre , puis
qu’il n’y a que trois élémens a, b, c. Ou déterminera donc ces
élémens par les trois équations
(x — ^) a + (y—’b)*— c 2 ~ o , x — a~j~ (y •— è) y’zzzo,
1 + Cr— mb )/'+/* = o ,
dont la seconde et la troisième sont les équations prime et seconde
de la première. De ces équations on tire tout de suite
(1 + v' a Vv' (1+/T
x —a
comme plus haut (art. 9).
Si on prenait l’équation à la parabole y = a -f- hx 4- ex s , qui n’a
aussi que trois constantes arbitraires, on aurait de même, pour la
détermination de ces constantes, regardées comme élémens d’un
contact du second ordre, les équations