et de là
SECONDE PARTIE, CHAP. Vil.
d =
(! -j- y' 2 -f- z'* ÿ
X
Po" 2 + 2."" + ( z'y" — y'z" y '
(i-ff + ^) C.yV' + zVQ
7. — r . I- 0 +y a +*' 2 ) Cy + *' («y-/*TI
^ j"“ + *" 2 + ( z'y" — y'z" r
C — z . (1 +/ 3 + [>"-/ «/- y VQ]
y 2 ++ ( «y —y'z" y
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La quantité ^ sera le rayon osculateur de la courbe propo
sée , et les quantités a, h, c seront les coordonnées de la courbe
des centres de tous les cercles oscillateurs • mais cette courbe ne
sera pas pour cela une développée , comme dans les courbes à
simple courbure.
55. Pour s’en assurer et trouver en même temps les conditions
nécessaires pour qu’elle devienne une développée de la courbe à
double courbure, il n’y a qu’à employer des considérations sem
blables à celles de l’article 25.
Reprenons les valeurs de a, Z>, c, tirées des trois premières
équations, nous aurons
( ny' — mz' ) d
a = x — — — ;
h =J -f-
( 72 z' ) d
R
Cm —• y') d
C - Z R
Ces expressions, en regardant les quantités x,y, z,y', z', ainsi
que m et rc, comme constantes, et la quantité d comme seule va
riable , donnent les coordonnées de la droite dans laquelle est placé
le rayon osculateur ; mais en regardant toutes ces quantités comme
variables, et m, ra, d comme données en x, puisque y et s sont
censées données en x, ces mêmes expressions représentent alors
les coordonnées de la courbe des centres. Or, pour que la même
droite devienne tangente de cette courbe, il faut que les valeurs de