BSisSÉÉLjL
SECONDE PARTIE, CHAP. VUE 359
& — / [^' — F'(a7 ? jK)3-f-o[^ y — F/C^ ? jr)]
+ 7 [C'(îc + Az ? j-f- Ao) — F"(x 4- Ai, y -f- Ao)]
+ û> [f'( jc + Aî ,jr 4" Ao) —-• F^ [x -}- Ai, j 4- Ao)]
+ ~ [Îi (^4-A4j4- Ao) — F /< (a?4-Aï, j + Ao)].
Supposons que les termes multipliés par i et par o disparaissent,
ce qui a lieu en faisant z' = Jï'(x,j) et z t =F y {x, j), l’ex
pression de D ne contiendra plus que des termes d’un ordre su
périeur; et il est facile de prouver qu’on pourra toujours prendre
i et o assez petits pour que cette valeur de D devienne moindre
que la valeur d’une pareille quantité pour une autre surface donnée ,
dans laquelle les termes multipliés par i et par o ne se détruiraient
pas. Donc si l’équation /• == F [p, q ) de la surface donnée contient
trois constantes arbitraires o, et qu’on les détermine de ma
nière ¿1 satisfaire aux trois équations
z = ¥(jc,j-), z' = Y' z t ~ YjÇoc
il sera impossible qu’aucune autre surface qui ne satisferait pas
aux mêmes conditions, puisse passer entre cette même surface et
la surface proposée dont les coordonnées sont x,y, z.
Il est visible que les trois équations précédentes ne sont autre
chose que l’équation même de la surface donnée, en y changeant
les coordonnées p, q, r en x, y, z, et les deux équations primes
de celle-ci, prises suivant x et suivant j. D’où l’on peut con
clure, en général, que si F (p, <7, ;’) = o est l’équation de la
surface donnée , les trois équations dont il s’agit seront renfermées
dans celles-ci
F(x,j,^)=o, F(x,y, z)sso et F, {x,y, z ) = o.
en regardant z comme fonction de ¿r et de sorte que si on dé
signe simplement par F'(A), F / (jr), F r (z) les fonctions primes de
F (x, y, z), prises relativement à x,j, z seuls, les deux dernières
équations deviendront,
F' (x) + z’W (*) = o, F' ( y ) + *,F' (*) = o.