SECONDE PARTIE , CHAP. ÎX. 2 45
Si donc on substitue dans cette équation la valeur de c trouvée
ci - dessus ( article cité ), on en pourra tirer la valeur de d, et
l’on aura
j __ P 1 4-y a + (a / +yg / ) , d y/(i + *'*+<)
Connaissant ainsi le rayon d de la sphère osculatrice, on aura, par
les formules du même article, les valeurs des coordonnées a, b, c
du centre,
45. La quantité y' qui entre dans les expressions précédentes^
dépend de la courbe qui est la projection de celle qu’on suppose
tracée sur la surface. Cette courbe étant arbitraire, on peut cher
cher celle dans laquelle le rayon de courbure d sera un maximum
ou minimum ; et pour cela, il n’y aura qu’à égaler à zéro la fonc
tion prime de l’expression de d, regardée comme fonction de
y {art. 26). Mais pour simplifier le calcul, nous observerons que
. puisque — c) \/(i -f- z* ), le maximum ou minimum
de J, relativement à y, répondra au maximum ou minimum de c j
ainsi, il n’y aura qu’à prendre l’équation prime de la dernière équa
tion ci-dessus entre c et y, en supposant nulle la fonction prime de c f
c’est-à-dire , en ne regardant que j r comme variable. On aura de
cette manière l’équation
y+^ ( y+/0 -f- ( y -KA/) (3—c) = o,
qui, étant combinée avec la même équation, servira à détermi
ner y et c.
Si on multiplie cette équation par y r et qu’on la retranche de
l’équation dont il s’agit, on aura celle-ci plus simple,
I -{- z ,% +y z'z, + ( z"-\~yz ; ) (z —- c ) = o,
qu’on combinera avec la précédente.
Par l’élimination de z — c, on aura une équation en y de cette
forme :
Ay a — 3j’ — C = o,