248 THÉORIE DES FONCTIONS.
se réduisent à ce que les valeurs des fonctions primes a\ V, c 7
soient les mêmes, soit que la quantité d soit seule variable, ou
que les quantités oc, j, 2 varient en même temps que d. Ainsi, si
on prend les équations primes des trois équations
(# — hy~\~ {z — cy = d%
oc — a-j-z'{z— c) = Oj j — h -f-z y ( 2 — c) = o (art. 42),
d’où résultent les valeurs de a, c, il faudra que la partie due à la
seule variation d g oc, j, z soit nulle. Or, il est visible que la se
conde et la troisième équation rendent nulle cette partie dans
l’équation prime de la première équation 3 donc il suffira de prendre
les équations primes des équations
oc — z' [z —• c)
y— b-\~ Zj (z—c) = o :
en regardant a, h et c comme constantes. Ces équations seront
donc , en regardant comme ci-dessus ( art. 44), y comme fonction
de oc, et z comme fonction de x et j,
1 + z f * -f-f'z'Zj-i- (z" ~\~y'z' y ) {z c) = O,
y + + « •f/zjtz-cjs 05
et si on les compare aux deux équations de l’article précédent, qui
déterminent le maximum et le minimum de d, on voit qu’elles sont
identiquement les mêmes • d’où il suit que les lignes suivant les
quelles le rayon de courbure sera tangent de la courbe des
centres, sont les mêmes que celles de la plus grande ou de la moindre
courbure.
Mais les expressions de a,b,c de l’article 42 donnent, en ne
faisant varier que d,
, d'z'
Ki + îH*!)
d'z.
Vii + *'•■+»•■)*
d'
d’où Fou tire
\/( 1 2/ 2 -f- s
<*'•+ h ,% + c ,a = 6? /ft 5
et