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ÌQ=: P—p\
THÉORIE DES FONCTIONS.
\/x— y/( æ4- O
\/ {X -j- l ) -p ^ O.' 2 y/o; 2 i/o; f C ^ 4" i} 4~ V^VJ
i
z[/x \_v\x + i ) -f V/^] a *
Q =
ay/o; [|/(x4- O ~h V^ï ' > ^ Sxy'x'
¿R — Q ? 2 ^/ x - [v/(a? 4- 0 -H \Zv] 2 )
I i 2r -f- 2 V/xX y/ X ±i
q{/x 4 x {.Vi x “f - * ) "E i/Æ
i 1/ ( a: + i ) -h 3 y/x
A
2\/a; ^ 4c [v/C* 4~ 0 4“ l/'VP ’
Il _ l/(® 4- 0 4- 5|/ .r . „.
Bxv/o; [V/(^ 4- 0 4- (/* T ?
l^X^^X
etc.
De sorte qu’on aura, de cette manière,
Ÿ Çx , l) \/x-\- Ÿ{x-\-ï)-\-\/x Q,\/x 2 y/x[_ ]/ (x-f-i) 4- yxj a
_ t/ r ju _iL — fa J VC^ + O 4-3y/x
* ' 2|/o: 8a; i/o? ~ 8x’\/a;|[|/(a;4-0 4"V //;r 3 3
= S/x-hjÿ^ — Sx ÿ x - 4- l6x y x ~ etC *
Cette dernière série est celle que l’on trouve par l’extraction
actuelle de la racine quarrée ou par la formule du binôme.
5. Il serait difficile d’exécuter ces opérations sur des fonctions
irrationnelles plus compliquées 5 mais en faisant disparaître les irra-
tionnalités par rapport à la quantité i, l’application de la méthode
n’aura plus de difficulté.
Ainsi,
quation
en reprenant l’exemple précédent, on partira de l’é-
[/( oc 4- 0 = \/oc -4- ¿P ,
qui étant élevée au carré pour dégager IV de dessous le signe