THÉORIE DES FONCTIONS.
verticales , la vitesse sera proportionnelle à \/{h ~f oc), et
y/( x _j-y a + z'*) sera la fonction prime de l’arc de la courbe
(art 3 7 ); ainsi — sera proportionnelle ¿a la fonction
prime du temps, dont la fonction primitive devra être un minimum.
On aura donc
donc prenant les fonctions primes, on aura
y
S/ih+x) I/( i +y 2 + a ,a )
f ( 2 ) = o , f ( z r ) c= ^ ) yf" -f-y 2 -p a'*')
et l’on aura ( art. 70 ) les deux équations
Cl/( h -f- a?) v C 1 + y /2 + 2/ a )3 Ô J
[
I/O + a?) ¡/ ( 1 + y 2 -h z/ a ).
*' -1'
:0
y {h + x) \/(i +y ft + a 2 ).
lesquelles donnent d’abord ces deux-ci du premier ordre
y
\Z(h -f~ x) y(i -py 3 4- 2 ,a )
/72
/7
m
71
i/(b + x) |/(i + y a -b 2. /2 )
772 et n étant deux constantes arbitraires.
En divisant ces deux équations l’une par l’autre, on a-^
donc z' = v -~, et prenant l’équation primitive, on anra
* = 2 + *,
771 7
/ étant une nouvelle constante arbitraire. Cette équation étant à
un plan vertical, puisque l’abscisse verticale x ne s’y trouve pas,
fait voir que la courbe cherchée est toute dans ce plan ; ainsi, en
prenant l’axe des/ dans ce même plan, on pourra supposer