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TROISIÈME PARTIE ? CHAP. Y.
on aura par ce qu’on vient de démontrer
X=nF'(x)+-i®'(æ), F=nF'(j)+'F$'(j), Z=nF'(z)-)-*®'(z);
E=nF'(S)+'F®'(f), T=nF'(n)+'F®'(),), 2=nF'(Ç)+W(Q;
X=nF'(x) + 'F®'(x), Y = nF'(y) +'*'$'( y), Z=nF'(z)+F®'(z);
et de là on tirera immédiatement
Xa/+ Yy + Zz'+Sg' + TV + SJ' -+- Yx'+ Fy'+Zz'
= nF’(a-,7, z, g, n, J, x,y,z)' +'F®'(x, -r ,s, Ç, n, Ç,x, y, z)'.
Le second membre de cette équation est évidemment nul en
vertu des équations de condition, puisque les quantités indéter
minées n, 'SK se trouvent multipliées par les fonctions primes de ces
équations ; donc on aura
Xx'+ iy+ Zs'+Sg'-j-lV-p. 2J'+Xx'+ Yy'+ Zz' = o,
équation générale du principe des vitesses virtuelles pour l’équilibre
des forces X, F, Z, S , T, 2, X, Y, Z, dans laquelle les fonctions
primes x', j', z', etc. expriment les vitesses virtuelles des points
% auxquels sont appliquées les forces X, F, Z, H, etc., estimées
suivant les directions de ces forces. Voyez la première Partie
de la Mécanique analytique.
Au reste, on ne doit pas être surpris de voir le principe des
vitesses virtuelles devenir une conséquence naturelle des formules
qui expriment les forces d’après les équations de condition , puisque
la considération d’un lil qui, par sa tension uniforme, agit sur tous
les corps et y produit des forces données, suffit pour conduire à
une démonstration directe et générale de ce principe , comme je
l’ai lait voir dans la seconde édition de l’ouvrage cité.