Full text: Théorie Des Fonctions Analytiques, Contenant Les Principes du Calcul différentiel, dégagés de toute considération d'infiniment petits, d'évanouissans, de limites et de fluxions, et réduits à l'analyse des algébrique des quantités finies

22 THÉORIE DES FONCTIONS. 
Divisant par a*, et changeant ¿en x, on aura la série connue 
A 2 x 2 . A 3 x 3 
r = i + A.r 
“f" etc. 
2 ' 2.3 
12. Si dans cette formule on faitÆ* = i, on aura 
= + — + etc., 
et si on fait x = , on aura 
B A = I +1 + ; 4-ô + 
etc. 
Ainsi la quantité a A est égale à un nombre constant, qui est la 
valeur de a, lorsque A = i ; et par la série précédente , on 
trouve 
I 
=: 2,71828 18284 5go45 
C’est le nombre qu’on désigne ordinairement par e • de sorte que 
la relation entre a et A se trouve exprimée d’une manière finie 
T 
par l’équation a A = e , laquelle donne a = e A . 
Donc, si fr = e mr , on aura a=e m ,Az= m, et par conséquent 
f ! x = me mx , C'x= m'e mx , ï'"x = m 3 e mx , etc. j 
d’où l’on tirera comme ci-dessus, 
m 3 x 3 , 
= i + mx H 4- —5-, etc. 
2 2i, ô 1 
Or, dans l’équationx est ce qu’on appelle le logarithme 
dej, a étant la base du système logarithmique, c’est-à-dire, le 
nombre dont le logarithme est l’unité 3 de sorte que cette équation 
1 
donne x=log j pour la base a. Par la même raison, l’équation « A =e 
donnera ~ = log e pour la base a, et A=log a pour la base e.
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.