66 THÉORIE DES FONCTIONS.
P, qui doit être nulle lorsque z = o , donnera F a = o, et alors F h
sera la valeur de P répondant à z = i.
Donc , si M et N sont la plus grande et la plus petite valeur de
f (x—xz), relativement à toutes les valeurs de z, depuis z=o
jusqu’à z = i, on aura
FZ><M et > N.
Par conséquent M et N seront les deux limites de la quantité P , en
y faisant z = i.
Supposons en second lieu, Q=Fz, on aura
Q' = F 'z = zf" ( x — xz);
donc faisant m = i , on aura
Z = ï" ( x — xz).
Soit pareillement a = o et h = i, on aura aussi par la condition
de la fonction Q , qui doit être nulle lorsque z est nul, F«=o,
et alors F£ sera égale à la valeur de Q, répondant à= i.
Donc, si Mi et Ni sont la plus grande et la plus petite valeur
de f" ( OC " 11 " 1 m OC /£ ) pour toutes les valeurs de z, depuis z = o jusqu’à
z = i , on aura
F£<
. Mi
et >
Ni
2
de sorte que et — seront les limites de la valeur Q lorsque s
y est = i.
Supposons, en troisième lieu, R = Fz, on aura
R'= F'z = P(ar — xz);
donc faisant ra = 2, æ = o, ¿> = i , on trouvera de la même ma
nière que si Ma et N2 sont la plus grande et la plus petite valeur
de ~ ï'" ( x— xz), en donnant à z toutes les valeurs depuis zéro