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valeur de
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PREMIÈRE PARTIE , CHAP. VL
67
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Jiièition
Fu=o ;
râleur
jusqu'à
jrsfie i
ma-
yaleur
zéro
jusqu’à l’unité, on aura et ~ pour les limites de la valeur de
la quantité R, lorsqu’on y fait z = 1.
Et ainsi de suite.
Maintenant il "est clair qu’en donnant à z , dans une fonction
de x (1 — z ), toutes les valeurs depuis z = o jusqu’à z = x , les
valeurs que recevra cette fonction seront les mêmes que celles
que recevrait une pareille fonction de u, en donnant successive
ment à u toutes les valeurs depuis u~ o jusqu’à u=.x\ car fai
sant x ( 1 — z) — u , z = o donne u~ x, z = x donne u = o ,
et les valeurs intermédiaires de z donneront des valeurs de u
intermédiaires entre celles-ci. D’où il est aisé de conclure que les
quantités M et N seront la plus grande et la plus petite valeur de
de Pm, relativement à toutes les valeurs de u, depuis u=zo jusqu’à
zî = x; et que par conséquent toute valeur intermédiaire entre
M et N pourra être exprimée par f'u, en donnant à u une valeur
intermédiaire entre o et x. Donc la valeur de la quantité P relative
à z = 1 pourra être exprimée par f 'u , u étant une quantité entre
o et x. On en conclura de même que la valeur de Q répondant à
2 = 1, pourra être exprimée par ~ f "u, en donnant au une valeur
intermédiaire entre o et x. Et on en conclura pareillement, que
la valeur de R relative à z = 1 pourra être exprimée par ^
en prenant pour u une quantité entre o et x.
Et ainsi de suite.
f'"i
4o. D’où résulte enfin ce théorème nouveau et remarquable par
sa simplicité et sa généralité, qu’en désignant par u une quantité
inconnue, mais renfermée entre les limites o et x, on peut déve
lopper successivement toute fonction de x et d’autres quantités
quelconques suivant les puissances de x, de cette manière,
ïx =s f. -f- xî'u
= f. -f- xï ! . -f- — f"u,
X 1
f. 4- xi'. + — f". 4- ~ f
1 2 2,3
etc.