DES FONCTIONS ELLIPTIQUES.
de sorte qu en faisant RL = M, on aurait
Ces formules offrent les suites les plus convergentes qu’on puisse
desirer pour la rectification de l’ellipse. Elles s’appliquent, comme
nous l’avons déjà dit, non-seulement à des valeurs de c plus petites
que [/}, mais à des valeurs beaucoup plus grandes et très-rappro-
chées de l’unité.
EXEMPLE.
(78). Soit proposé de trouver l’arc E (c, <p) lorsque c = sin76*
Dot» Idc iro I Dure nmo /»omnlooc f orf m 1 An o E A rv K -- ■ A o/nAbnr
L = 0.3888658
= 0.3290186
sincp 00 = 0.0622872
o.ooi3888
0.0000010
La somme des parties algébriques est 0.3799180, ainsi on à
E (c, <p) = RL. ^-f- 0.3799180 ; on aura en même temps la fonc
tion complète E 1 (c) = RL .~j d’où résulterait E ( c, <p) =~ E 1 (c)
>4-0.5799180. Mais puisque l’arc E(c, <p) se mesure par le tiers de
E 1 ( c ) , on trouvera par les formules de la trisection ( art. 67 )
E (c, <p) = jE 1 ( c )‘4"“It“> résultat précédent s’accorde par
faitement avec cette formule, car on a en effet —= 0.5799179.
Le même calcul donne de plus log E 1 (c) — 0.0319767 et E 1 ( c)
= 1.0764049; donc dans le cas proposé, l’arc E (c, <p)=o.7887196;
et on voit que la partie déterminée algébriquement, forme plus de
la moitié de l’arc. Au reste la valeur trouvée deE'(c) s’accorde avec