ii4 PREMIÈRE PARTIE.
(83). Si on substitue la valeur de E l (c) donnée par la seconde
des formules précédentes, dans l’équation de l’article 4 2 > on en
déduira
F'(o)
et si on observe que la valeur de F‘(c) contient un logarithme que
le second membre ne saurait offrir par le développement des quan
tités F 1 (h), E 1 (Z>), en séries ordonnées suivant les puissances de h
supposé très-petit, on en conclura que l’équation précédente ne
peut subsister à moins que le numérateur et le dénominateur du
second membre ne soient sensiblement égaux à zéro. Ainsi on devra
avoir les deux équations
*■(*) =
E■(*) =
v/(4-V)
= 1 *
i -hcy/c
Changeons b en c, et réciproquement, afin de rapporter ces nou
velles formules au module c } nous aurons
E‘(c)
E ‘(c)
VC^ b )
!-\-by/h
“*+V b
7T
vAj)
Ces formules sont encore plus simples que celles de l’article
précédent ; elles ne supposent d’autre calcul préliminaire que
celui de h et b° ; or en faisant c = sin , on a b = cos , eî
h°) est très-facile à déduire de
¿o _ A’È-AAt ; d’ailleurs log ( i
cos a j P ô '
log b°; car comme i — b° est très-petit, si l’on fait log = — cT,
on aura log (2 — №)■=.£•—cT 2 (2.3025, etc.).
Ces formules ne sont pas moins exactes pour les petites valeurs
de c, que celles de l’article précédent pour les valeurs de c peu diffé
rentes de l’unité ; les unes et les autres s’accordent avec les formules
de l’article 4^, et on peut s’assurer qu’elles équivalent au dévelop
pement d’un assez grand nombre de termes de ces dernières.